L’écologie n’a pas été un des axes prioritaires de développement au Maroc, jusqu’à maintenant. Entre l’absence de lieux de recyclage des ordures, une relative indifférence au gaspillage de l’eau, une désertification déjà avancée, y compris dans les montagnes de l’Atlas… peut on dans ces conditions réellement parler d’écotourisme ? Et n’y a t il pas une contradiction à essayer de promouvoir un tourisme écologique quand les sacs en plastique noir jonchent le sol ?